Logo Marc Giraud

Auteur d’une cinquantaine de livres sur la nature, chroniqueur animalier, auteur de documentaires (« Vivant », « Homo animalis » ou la série « La France sauvage »), participant à de nombreux débats radio et télé mais arpentant le plus souvent possible le terrain, j’essaie toujours de transmettre cette réjouissante évidence : l’extraordinaire se cache dans l’ordinaire.
Bienvenue sur mon site naturel !

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Marc Giraud a rédigé le grand article « Regardons vivre les animaux » dans la magnifique publication de La Relève et la Peste, « Animal ».

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Les chevreuils parlent avec les fesses, les champignons ont du vocabulaire, les arbres grossissent la nuit, les pics séduisent à coups de bec et les sangliers glandent.

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Marc Giraud est concepteur et directeur de la collection « Reconnaître facilement… » chez Delachaux et Niestlé, un projet grand public mené avec la complicité de l’éditrice Stéphanie Zweifel. Après un titre très généraliste sur toutes les sortes d’animaux qui nous entourent, il co-signe ...

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Actualités

Des coups de griffe et des coups de cœur

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sons et vidéos

Une sélection de sons et de vidéos des chroniques radios

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Livres

Ma bibliographie, avec les présentations des éditeurs et quelques fioritures

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histoires d'animaux

Parce que les animaux sont étonnants...

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Une chouette aussi grande qu’un éléphant !

Les hommes préhistoriques ont côtoyé de drôles d’oiseaux. Ainsi, des éléphants nains (Elephas falconeri) ont existé dans les îles méditerranéennes sans doute jusqu’à l’époque des Grecs de l’Antiquité. Ils n’atteignaient que 60 cm au garrot. Dans la même région ont vécu des chouettes géantes (la chouette de Crète Athene cretensis et la chouette des Baléares Tyto balearica), aussi hautes que ces éléphants !

Des bains de fourmis

Des oiseaux comme les geais, les pies, les merles et les étourneaux, prennent des bains de fourmis ! Certains s’accroupissent sur des fourmilières, ailes bien écartées, et attendent l’invasion des insectes grouillants. D’autres, plus pressés, prennent carrément des fourmis dans leur bec pour les poser sur leurs plumes ! Le but de la manœuvre ? Vraisemblablement de s’imprégner de l’acide formique éjecté par les insectes, car celui-ci possède des propriétés anti-parasitaires.

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Illustrations

Mon Pressbook d'aquarelles publiées ou inédites

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